Entre canicules et alertes orages violents, je sens qu’on va passer un beau mois de juillet.
Avec un bilan de neuf livres lus en juin en dépit d’un emploi du temps bien rempli (c’est dingue tout ce qu’on trouve à faire quand on n’a pas d’activité professionnelle), je me permets d’envisager un mois de juillet d’un même acabit.
Un manga, un bouquin numérique (le dernier), un livre audio, des prêts de la bibliothèque municipale, de l’autoédition et quelques services de presse de ME partenaires.
La belle routine.
Le manga du mois
Sans surprise, c’est un nouvel épisode de la saga Spy x Family, le tome 11, qui va m’approcher de la mise à jour que je vise depuis le début de la découverte de cette série qui ne cesse de me ravir.

Le livre de la masse critique de Babelio
Le mois de juin est consacré aux ouvrages de la catégorie non-fiction.
La maison d’édition Hors Collection m’a gratifié de la lecture de Prince Xperience : Dans la tête du génie, de Ersin Leibowitch, une biographie du célèbre chanteur et guitariste.

Rendez-vous page 17
Le cercle de lecture de la bibliothèque Salvator de Mulhouse m’amène à lire (cette semaine) deux livres.
Matin brun, de Franck Pavloff, édité par Cheyne. Un petit livre de 12 pages, qui coûte 1€ et qui a été tiré à plus d’un million d’exemplaires depuis sa sortie en 1998.

Les perles noires de Jackie O. de Stéphane Carlier, aux éditions du cherche midi. Toujours dans le cycle consacré à l’humour en littérature.

De l’autoédition
Pas moins de trois livres de l’univers parallèle des auteurs autoédités cette fois. Deux que je connais déjà et un troisième que je vais découvrir.
Lisa Fronsac, que j’avais découverte grâce à Sel et Sable et qui récidive avec Ce que je te dois.

Joan Ott, qui est une amie et dont les habitués ont souvent lu le nom dans la section commentaires, signe Les Ephémères. (Qui vient titiller ma difficulté avec les majuscules accentuées).

Et le troisième auteur qui constituera donc une découverte est Christophe Maignan qui m’a confié la lecture de Rain City, le premier tome de La cité des larmes, un récit cyberpunk qui devrait logiquement me plaire et dont le second tome paraitra sous peu.

Et pour finir
Des maisons d’édition partenaires m’ont aussi confié quelques titres.
Vendeurs de mots, la ME de Laurent Cappe qui a débuté en autoédition, se lance dans l’aventure consistant à placer sa confiance dans d’autres auteurs avec Beckenbauer, de Christophe Neyrinck.

Aux Forges de Vulcain a publié Retour à l’âge ingrat de Alexis David-Marie en mars de cette année. Je l’avais sollicité en version numérique sur la plateforme NetGalley et il traîne dans ma liseuse depuis. Je vais me forcer à le lire sur écran et ensuite je vais laisser tomber les ebooks, je suis décidément un adepte du papier.

Et pour finir, Les Editions Bleu et Jaune m’ont offert de lire L’issue fatale des blessures d’athlétisme, de Milica Vuckovic qui fera partie de la rentrée littéraire de septembre 2024.
Je commence un peu tôt parce qu’il va y avoir du beau monde cette année. Je réserverai donc sans doute la chronique pour plus tard.

Et enfin la belle ME lyonnaise M+ a publié il y a un mois jour pour jour Tant de cochons, de Jacques Bablon dans la collection noire dont je poursuis l’exploration.
Ce livre fera l’objet de ma prochaine chronique.

Voilà un mois de juillet qui s’annonce particulièrement radieux !
