Et oui, c’est déjà demain !
Et ce sera la deuxième fois que j’aurai le plaisir d’animer l’atelier d’écriture de Ce que j’en dis…
Il reste encore des places alors n’hésite pas à t’inscrire, l’heure limite est fixée demain à 17 h pour l’atelier qui débutera à 18h30.
Résumé de l’atelier précédent
C’était donc une première et j’étais ravi d’accueillir Charlotte, Béatrice et Nelly. Charlélie a été excusé. Nous étions donc un petit groupe de quatre et je ne peux m’empêcher de penser que pour un début c’est plutôt pas mal.
Nous avions abordé plusieurs points mais le principal portait sur les blocages d’écriture.
Nous avons partagés quelques conseils simples et accessibles à tous … qui ont porté du fruit puisque chacun a pu effectivement produire du texte.
L’exercice portait sur l’arc narratif.
Malheureusement, beaucoup de personnes qui souhaitent raconter une histoire ne font que dérouler les faits, ce qui peu parfois devenir ennuyeux. C’est encore plus vrai à l’écrit…
Nous avons donc échangé des idées pour introduire une tension narrative dans le récit.
Le sprint d’écriture a duré 15 minutes au terme desquelles ceux qui le désiraient (tous !) on pu lire leur texte et bénéficier des commentaires encourageants des autres participants.
Nous avons passé un excellent moment, plein de belles choses.
Le programme de demain
La thématique retenue pour demain portera sur le choix du narrateur.
Nous exploiterons trois possibilités :
- la narration à la première personne
- la narration omnisciente
- la narration incarnée
Nous utiliserons les astuces de déblocage qui ont bien fonctionné la semaine passée et j’ai déjà préparé quelques exercices ludiques qui mettront en lumière les avantages et les inconvénients de chaque choix narratif.
Le texte devra porter sur un aspect simple et utile de l’écriture que je te laisse donc découvrir demain !
Tu peux t’inscrire ici ou en allant sur l’onglet Ateliers d’écriture.
PS : j’ai reçu des plaintes concernant le tarif de l’atelier : 1 €, ce n’est pas assez cher !
Qu’en penses-tu ?
cequejendis.fr 
Un euro par jour, un franc, une lire, un mark, c’est symbolique et sympathique. Qu’est-ce qui empêcherait les participants de donner davantage ?
J’aimeAimé par 1 personne
C’est vrai qu’en réalité on peut donner autant qu’on veut. Il suffit d’acheter plusieurs fois le produit… Mais dans la pratique je crois que la notoriété joue un rôle important. Des auteurs connus proposent des formations à plus de 1000 € et ils ont plus de participants que moi.
Je ne suis pas persuadé que leurs conseils aient 1000 fois plus de valeur que les miens.
Mais le plus important pour moi c’est le plaisir partagé, pas les deux ou trois euros que je récupère ici ou là.
J’aimeJ’aime
Cher Christophe,
Si le plaisir prime (et là je suis bien d’accord avec toi), un travail récompensé par une reconnaissance monnayée n’est pas forcément négligeable. A mon avis, tu peux t’attendre à des dons supérieurs à l’euro symbolique !
Je t’embrasse,
Joan
J’aimeAimé par 1 personne
Je note.
Merci pour le conseil Jo.
J’aimeJ’aime